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VIEUX NICE : CHARME ET AUTHENTICITÉ

Trois spécialistes de la vieille ville nous livrent leur perception de ce marché qui séduit autant les acquéreurs français qu’étrangers : Philippine Hamon, Directrice des ventes chez Ashley & Parker ; Jean Bozec, fondateur de Sesam’Immobilier et Lola Macanda-Dauwe, Conseillère en transaction immobilière au sein du Groupe Palais Immobilier.

Spécialiste de la transaction sur le marché azuréen depuis plus de 20 ans, Ashley & Parker dispose de 4 agences à Nice. Philippine Hamon est Directrice des ventes et chargée du développement au sein de l’enseigne.

« Dans le Vieux Nice, les demandes se concentrent sur les biens lumineux, en étage élevé et disposant d’un ascenseur, soit une offre plutôt rare, dans le quartier. En effet, la majorité des biens sont situés dans des immeubles très proches les uns des autres et dépourvus d’ascenseur. Cependant, les acquéreurs sont séduits par le charme authentique de la vieille ville et son animation, à quelques pas de la mer. Les 2 et 3 pièces constituent l’essentiel de la demande, soit un budget moyen de 380 000 euros. Aujourd’hui, 30 % des acquéreurs sont étrangers, pour 70 % de Français. Nous accompagnons également de nombreux investisseurs qui cherchent des biens destinés à la location saisonnière — néanmoins, cet usage est désormais limité à six ans. Dans le quartier, la crise sanitaire a provoqué une hausse des prix — de 6 000 à 8 000 €/m2. La remontée des taux d’emprunts risque également de peser, bien que la majorité de nos clients n’aient pas recours au crédit. À date, le marché du Vieux Nice demeure particulièrement dynamique, et nous n’observons pas de baisse de notre activité. En matière d’emplacement, la place Saint-François, la place Rossetti, la rue Alexandre Mari et la rue Benoît Bunico constituent autant de valeurs sûres. Enfin, dans le cadre de notre développement et de l’ouverture d’une 5e agence à la fin de l’année, nous recrutons de nouveaux négociateurs. »

Fondée en 1988 par Jean Bozec et établie à l’entrée du Vieux Nice, Sésam’Immobilier se consacre exclusivement à la transaction.

« Dans la vieille ville, les 2 pièces et les petites surfaces sont recherchées en priorité, car la majorité des acquéreurs souhaitent disposer d’un pied-à-terre ou d’un bien destiné à la location saisonnière. À près de 80 %, les transactions concernent des résidences secondaires. Selon l’état du bien, les prix s’échelonnent du 5 000 à 10 000 €/m2. Bien que le premier semestre 2022 ait été marqué par une forme d’attentisme, le marché du Vieux Nice demeure très actif. Aujourd’hui, notre clientèle est constituée, à parts égales, de Français et d’étrangers. Nous accueillons notamment de nombreux acquéreurs anglais et scandinaves, mais il nous arrive de vendre à des clients australiens. Les critères les plus recherchés sont la vue dégagée — sur la mer ou la Coulée Verte — et la situation en étage élevé. Bien que le Vieux Nice soit apprécié pour sa vie nocturne, nos clients privilégient les biens situés dans des rues relativement calmes. Par ailleurs, au cours des dernières décennies, les immeubles du quartier ont bénéficié d’un élan de rénovation, de sorte que, désormais, les acquéreurs se montrent attentifs à la qualité des parties communes. En outre, nombreux sont les marchands de biens qui proposent des appartements ayant fait l’objet de travaux de remise à neuf. Aujourd’hui, j’observe que les biens situés à l’entrée du Vieux Nice, du côté de la rue de l’Hôtel de Ville, bénéficient d’un engouement marqué. »

Fondé en 1989, le Groupe Palais Immobilier se consacre à la transaction et la location au travers de ses 10 agences réparties entre Nice et Menton. Conseillère en transaction immobilière au sein de l’agence du Vieux Nice, Lola Macanda-Dauwe observe une demande soutenue pour les petites surfaces.

« Les acquéreurs étrangers continuent de chercher des 2 pièces en résidence secondaire, mais les investisseurs se heurtent désormais à une double difficulté : d’une part, la municipalité a durci les conditions encadrant la location saisonnière et, d’autre part, un nombre croissant de copropriétés interdisent cette pratique. Par conséquent, les propriétaires qui détiennent ce type de biens ont tendance à les vendre, plutôt que les louer. En matière de prix, un appartement situé au dernier étage, sans vue ni ascenseur et nécessitant des travaux, est accessible aux environs de 110 000 euros. À l’inverse, un studio de 23 m2, au dernier étage et
jouissant d’un balcon et d’une vue mer se négocie aux environs de 220 000 euros. Aujourd’hui, nous accueillons autant d’acquéreurs français qu’étrangers, sachant que les résidences principales sont rares, dans le Vieux Nice. Depuis la crise sanitaire, les prix ont augmenté de façon significative. Ainsi, le studio évoqué plus haut était accessible à près de 170 000 euros, auparavant. Offrant un environnement plus calme, le haut du Vieux Nice — à l’image de la rue de la Providence — séduit un nombre croissant d’acquéreurs. En définitive, les biens les plus recherchés sont les appartements clé en main, donc entièrement rénovés et meublés. »

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Lola Macanda-Dauwe, négociatrice au sein du Groupe Palais Immobilier

 

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Philippine Hamon, Directrice des ventes chez Ashley & Parker

 

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Jean Bozec, fondateur de Sesam’Immobilier

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Libération : le nouveau centre-ville

Afin de dresser un état des lieux de ce quartier de plus en plus populaire — au bon sens du terme — voici l’avis de trois spécialistes de la Libération: Stéphane Blanco, Directeur associé du Groupe Palais Immobilier; Isabelle Poiraud, qui dirige l’agence Stéphane Plaza Nice Nord et Graziano Di Luisa, expert transaction au sein d’Info Conseil Immobilier. Fort de 10 enseignes dont 7 sont implantées à Nice, le Groupe Palais Immobilier a repris en 2021 une agence implantée dans le quartier de la Libération depuis 43 ans — la seule située sur la place du Général de Gaulle. Directeur associé du Groupe, Stéphane Blanco observe que la demande pour les appartements 2 et 3 pièces constituent l’essentiel de la demande.

« Pour des surfaces voisines de 60 m2, les acquéreurs disposent de budgets oscillant entre 250 000 et 400 000 euros. Les recherches concernent principalement la résidence principale, car les acquéreurs sont séduits par la convivialité de ce quartier populaire aux nombreux commerces et qui permet, grâce au tramway, d’accéder au bord de mer en quelques minutes. Victime de son succès, le secteur est néanmoins marqué par un fort déséquilibre entre une offre rare et une demande en hausse constante. Par conséquent, les prix affichent une hausse qui varie au gré des emplacements. En moyenne, les beaux produits sont accessibles entre 4 500 et 5 000 €/m2. Cependant, au regard du profil des acquéreurs — soit une majorité d’actifs locaux — les tarifs ne sont pas soumis aux envolées qui caractérisent certains quartiers plus exclusifs, prisés par les acquéreurs étrangers. Par ailleurs, le quartier regorge de ruelles pittoresques, de villas Belle Époque et de charmantes maisons niçoises qui ajoutent encore au cachet de la Libération. Enfin, nous recevons également de nombreuses demandes concernant des investissements locatifs, compte tenu de la proximité de la faculté de science. »

Directrice de l’agence Stéphane Plaza Immobilier Nice Nord, Isabelle Poiraud et ses équipes sont spécialisées dans la transaction, la location et la gestion locative.

« Dans le secteur de la Libération, la clientèle d’acquéreurs est constituée à 90 % d’actifs locaux en quête d’une résidence principale, soit des 2 pièces et 3 pièces. Les 10 % restants concernent les studios, qui sont prisés par les investisseurs, ainsi que par les parents dont les enfants étudient à la faculté de Valrose. Tous types de biens confondus, la demande se concentre sur les appartements situés en étage élevé et jouissant d’un espace extérieur, mais ces produits sont rares, du fait de la prépondérance des immeubles bourgeois dans notre quartier — la plupart ne disposent que d’un balcon filant. Les prix moyens débutent aux environs de 120 000 euros pour un studio, 200 000 euros pour un 2 pièces et 320 000 euros pour un 3 pièces. Compte tenu des nombreux aménagements dont notre secteur a bénéficié au cours des dernières années, on observe un déplacement du centre-ville de l’avenue Jean Médecin vers le périmètre de la Libération, ainsi qu’une hausse des prix. Cette tendance est renforcée par la rareté des biens disponibles à la vente. Les emplacements les plus prisés se situent sur les artères voisines du marché, aux abords de l’église Jeanne d’Arc, dans la rue Fragonard et les artères perpendiculaires aux avenues Borriglione et Malaussena. Les rues Trachel et Vernier s’avèrent moins prisées, mais offrent de belles opportunités d’investissement et de rentabilité future. »

Porté par les compétences et l’expérience de M. Graziano Di Luisa, l’agence Info Conseil Immobilier se consacre à la transaction, tandis que le Cabinet RASORI est spécialisé dans la location et la gestion.

« Voilà 20 ans que nous sommes implantés dans le secteur de la Libération. Nous avons ainsi pu constater et accompagner la trajectoire de ce quartier au fur et à mesure de ses changements. Autrefois considéré par les acquéreurs comme le quartier nord de la ville, il fait désormais partie du centre élargi de Nice, grâce notamment à l’implantation du tramway en 2007 qui l’a rapproché de la mer. Par ailleurs, la mise en valeur de son marché journalier et la piétonisation de certaines rues l’ont rendu encore plus populaire — dans le bon sens du terme. Ces améliorations notables ont engendré une très nette augmentation du prix moyen au m2et de l’acceptabilité des clients à payer un tel prix. Autrefois synonyme de solution par défaut pour certains, il constitue aujourd’hui le premier choix pour la plupart des prospects qui me contactent en vue de visiter les appartements que je commercialise à la Libé, comme on le nomme aujourd’hui. Jadis mal aimées, certaines artères telles que la rue Vernier ont aujourd’hui toute leur place dans le périmètre de recherche des acheteurs. Porté par des conditions attractives de financement et d’octroi de prêts immobiliers, le marché de l’immobilier dans le quartier de la Libération se porte très bien, à ce jour, grâce à ses multiples atouts en matière de commodités, d’infrastructures et d’habitat. »

Stéphane_Blanco_ROND

 

 

 

Stephane Blanco GROUPE PALAIS IMMOBILIER

 

Isabelle_Poiraud__ROND Isabelle Poiraud STÉPHANE PLAZA IMMOBILIERNICE NORD

 

Graziano_Di_Luisa_ROND Graziano Di Luisa INFO CONSEIL IMMOBILIER

 

 

 

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Rencontre avec… Delphine Chouchana

Nouveau partenaire depuis le début de l’année nous souhaitions en savoir un peu plus sur l’agence Remax. Nous sommes donc allés interviewer la directrice de l’agence…

Depuis quand le groupe Remax existe-t-il ?
REMAX a été créée en 1973 à Denver au Colorado. L’enseigne se développe en Europe depuis 20 ans et depuis 2016 en France, où REMAX regroupe 100 agences et près de 1200 agents. L’agence de Nice a ouvert ses portes en 2019.

 

Quelles sont les trois grandes valeurs de votre agence ?
Nous défendons trois valeurs : la passion, l’honnêteté et le professionnalisme.

 

Combien avez-vous de collaborateurs ?
L’agence de Nice compte 23 agents et celle de Draguignan 10 agents.
Ces 33 agents sont entourés de 2 assistantes, 2 chargés de recrutement et un responsable Marketing & Communication.

 

Avec quel type de clientèle travaillez-vous ?
Nous travaillons aussi bien avec la clientèle locale, que nationale et internationale, car nous bénéficions de la densité du réseau REMAX qui compte près de 140 000 agents dans 110 pays : nous recevons quasiment toutes les semaines des clients recommandés par d’autres agences en France ou n’importe où dans le monde.

 

Est-ce que l’actualité géopolitique a eu un impact sur votre agence ?
Il est sans doute trop tôt pour tirer des conclusions concernant les tous derniers événements. Nous connaissons cependant un mois de mars exceptionnel avec une forte augmentation au niveau des offres d’achat acceptées. C’est peut-être le signe que le retour annoncé de l’inflation, avec la hausse des taux qui suivra, incite les acquéreurs à passer à l’acte plus rapidement.

 

 

photoarticle photo de l’équipe de Remax Azur signature

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Le marché de la promotion à Nice : quoi de neuf ?

Promoteur coopératif, le Groupe Gambetta se consacre à la réalisation d’opérations immobilières neuves en accession libre à la propriété, ainsi qu’en accession sociale à la propriété dans le cadre du Bail Réel Solidaire. Au sein du Groupe, Sylvain Michel est le Directeur général de Gambetta Sud-Est.

« Depuis le confinement, les acquéreurs se montrent encore plus attentifs à la qualité de la conception de leur logement – espace, volume, hauteur sous plafond et superficie de l’espace extérieur constituent autant de critères décisifs. Notre priorité consiste à construire des espaces de qualités. Dans cette optique, la Métropole de Nice a récemment mis en place, avec les promoteurs, une charte dédiée à la qualité des logements neufs. En effet, il a été établi que les logements ont perdu, en moyenne, 10 m2 de surface en 10 ans et 27 cm de hauteur sous plafond en 60 ans. Il était temps d’inverser la tendance. En complément, la nouvelle règlementation RE2020 permet de construire mieux en termes d’empreinte carbone et de consommation énergétique. Cependant, pour plusieurs raisons, l’offre demeure insuffisante. À la fin de l’année 2019, plus de 100 000 unités avaient été commercialisées en France, contre 82 000 unités en 2021. Cette raréfaction de l’offre a induit une augmentation des prix, tandis que les conditions d’accès au crédit se durcissaient. En outre, le coût de la construction augmente du fait de l’accroissement du prix des matières premières et de l’énergie. En définitive, le manque de logements demeure un problème structurel. Il s’avère donc essentiel de construire plus et de construire mieux. »

Dirigée par Mathieu et Laurent Garotta, Riviera Réalisation est une entreprise familiale fondée en 1986.

« Nous nous consacrons à la promotion immobilière dans le cadre du logement, de la résidence gérée, des commerces, des locaux d’activités et des bureaux, ainsi qu’à l’activité de marchand de biens et à la réhabilitation de biens anciens. À Nice, les 2 pièces s’avèrent le plus recherché, aussi bien par les primo-accédants, jeunes actifs et familles monoparentales que par les investisseurs. Aujourd’hui, la plaine du Var accueille plusieurs programmes, où les prix sont plus abordables qu’à Nice centre. Au centre-ville, les projets sont rares et affichent des prix plus élevés. Globalement, un 2 pièces neuf est accessible à partir de 200 000 € et peut atteindre plus de 400 000 €, s’il jouit de prestations exclusives — emplacement recherché, vue mer, résidence avec piscine… Cependant, du fait de la rareté du foncier, l’offre est restreinte. La construction d’appartements de 3 et 4 pièces est fortement encouragée par les communes, mais cette offre n’est pas véritablement en phase avec la demande, car les familles monoparentales prennent le pas sur les familles nombreuses depuis plusieurs dizaines d’années. En revanche, le neuf offre de nombreux avantages : frais de notaire réduits de 7 % à près de 2,5 %, prêts à taux zéro en primo-accession, garanties décennales, absence de travaux, évolutivité du logement et économies d’énergies significatives, sans omettre le fait qu’un logement neuf peut être réalisé sur mesure et ainsi parfaitement correspondre aux attentes de son acquéreur. »

Plateforme spécialisée dans la commercialisation et la vente de programmes neufs, ineuf.com a été fondée en 2009 par Nicolas Viale.

 Elle compte aujourd’hui plus de 250 conseillers en France. « Aujourd’hui, à Nice, les acquéreurs nous sollicitent aussi bien pour une résidence principale ou secondaire que pour un investissement. En effet, la ville constitue autant un lieu de résidence qu’une destination de villégiature à la renommée internationale. La crise sanitaire a renforcé le statut de valeur refuge qu’incarne la pierre. Elle a également provoqué un ralentissement de la délivrance des permis de construire. Cependant, cette restriction de l’offre a redynamisé les ventes au profit d’une clientèle à 80 % française. Sur le département des Alpes-Maritimes, l’offre est inférieure à 200 programmes neufs, tandis que les valeurs habituelles oscillent entre 240 et 250 programmes. Je tiens à souligner l’impact bénéfique que peut avoir ce marché : la construction d’un logement neuf engendre la création de deux emplois locaux et permet de générer de la TVA, des recettes fiscales pour les communautés et du travail pour le secteur du BTP. Concernant le profil des acquéreurs, on observait habituellement un équilibre entre ceux qui sont déterminés à obtenir un bien neuf et ceux qui n’ont pas trouvé le bien correspondant à leurs critères sur le marché de l’ancien. Depuis l’annonce de la réglementation environnementale RE 2020 et en particulier au cours des six derniers mois, nous avons enregistré un fort report des clients de l’ancien vers le marché du neuf. »

Sylvain_Michel_rond       Nicolas_Viale_rond     Mathieu_Garotta_rondDe gauche à droite : Sylvain Michel, Nicolas Viale, Matthieu Garotta

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Fnaim côte d’Azur : au service des adhérents

Sous la présidence conjointe de William Siksik et Cyril Messika, la FNAIM Côte d’Azur rassemble plus de 600 cabinets dans les Alpes-Maritimes et déploie une large gamme de prestations visant à développer l’éthique et le professionnalisme de ses adhérents. Portrait.

Quelle est la vocation de la FNAIM Côte d’Azur ?

Nos cœurs de métiers sont constitués par l’administration de biens, le syndic, la transaction, l’expertise et la défense de la profession. À cet effet, nous déployons une vaste gamme de services, un appui juridique de premier plan et une interface unique de renouvellement de la carte professionnelle de nos adhérents, ainsi qu’un important portefeuille de formations. Vous présidez l’organisation de façon conjointe.

Comment sont réparties vos responsabilités ?

Ce choix a apporté la preuve de son efficience, dans la mesure où il ne s’agit pas d’un partage des responsabilités à 50%, mais bel et bien d’un engagement à 100% de la part de chacun de nous. Cette coprésidence nous permet d’apporter la plus-value que nous confèrent nos savoir-faire respectifs, tout en intervenant dans la totalité des domaines couverts par notre mandat. Nous sommes à la fois complémentaires et interchangeables. Chacun est capable de répondre aux questions qui nous sont adressées au quotidien.

Dans le contexte actuel, quelles tendances majeures orientent l’évolution de la profession ?

La crise sanitaire a provoqué une accélération de la digitalisation de nos outils, à l’image, notamment, de la signature électronique des documents. Néanmoins, le contact humain demeure essentiel. La dématérialisation des échanges autorise un gain de temps notoire, ainsi qu’une sécurisation des procédures. Ainsi allégés de certaines tâches administratives, les professionnels de l’immobilier disposent de davantage de temps à consacrer à leurs clients.

Afin d’accroître encore la satisfaction de nos adhérents, nous avons augmenté le nombre et la portée de nos services, notamment en matière d’appui juridique et de formation. Nous nous consacrons désormais à la pathologie des bâtiments; nos commissions métier sont armées d’un juriste; nous avons déployé des formations avec l’École supérieure de l’immobilier; nous avons planifié des interventions sur BFM TV dédiées à la défense de la profession.

En outre, chaque année, nous organisons neuf réunions de formation à Polygone Riviera — chaque session permet de former 400 professionnels. Nous avons relancé l’initiative Agir local, penser global, laquelle donnera lieu à une série de réunions — le 21 mars à Menton, le 23 mars à Antibes et le 31 mars à Nice. À cette proximité avec nos adhérents, nous ajoutons la défense de leurs intérêts, qui demeure notre priorité. Ainsi, nous avons récemment adressé un courrier aux députés, aux sénateurs et au législateur, afin de trouver une solution au problème des acteurs qui travaillent — notamment à Monaco — sans carte professionnelle et donc sans être soumis aux obligations qui pèsent sur nos adhérents. La concurrence est saine, à condition que chacun respecte les mêmes règles. Nous intervenons également sur les sujets relatifs à la location saisonnière, à l’arrêté sur les prix ou encore à la loi climat. Tel est le sens de notre engagement.

MESSIKA SIKSIK NB    William Siksik & Cyril Messika

 

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BIEN’ICI : RÉTROSPECTIVE ET PERSPECTIVES

Affichant une hausse de la fréquentation de près de 36 % en 2021, Bien’ici figure désormais sur le podium des sites d’immobilier les plus consultés en France.Analyse des grandes tendances du marché avec David Benbassat, Directeur général de l’enseigne.

David BenbassatBIEN’ICIQuel est l’ADN de Bien’ici?Bien’ici est un portail d’annonces immobilières qui a été créé, voilà six ans, par et pour les professionnels du secteur, avec la volonté de valoriser la profession. Aujourd’hui, nous sommes le seul portail qui propose uniquement des annonces publiées par des professionnels. Nous avons pris le parti de réinventer la recherche immobilière. À cet effet, nous proposons une expérience unique, qui intègre notamment la localisation cartographique des biens proposés à la vente et à la location, ainsi que la modélisation en 3D des programmes neufs. La cartographie apporte plusieurs avantages décisifs : le site indique l’emplacement du bien, mais son adresse précise demeure confidentielle.

Ainsi, sur notre portail, les internautes ont accès aux caractéristiques du bien et à son environnement : proximité des écoles, des magasins, des parcs, réseaux de transport ou encore des administrations. En outre, ils peuvent estimer le temps de trajet jusqu’à leur lieu de travail. Par ailleurs, nous sommes en mesure d’identifier tous les biens qui bénéficient d’une connexion internet par la fibre, ainsi que les appartements qui disposent d’un parking doté d’une borne de recharge pour les véhicules électriques. Pour les futurs acquéreurs, ces fonctionnalités se traduisent par un gain de temps considérable et par davantage de sérénité, au moment d’effectuer cet achat majeur. En témoigne le temps qu’ils consacrent à la navigation sur notre site, supérieur d’une à deux minutes à celui des sites concurrents. Ces évolutions nous ont permis d’accéder à la 3e place des sites immobiliers français, avec, en 2021, plus de 157 millions de visites, soit une croissance de 36 % par rapport à l’année 2020.

En 2021, les recherches effectuées sur votre portail montrent que Nice affiche la plus forte progression parmi les métropoles françaises. Quelles sont les raisons de cet engouement? En effet, Nice a bénéficié d’une progression de 55 % des recherches pour l’achat et de 49 % pour la location, devant Paris, Marseille, Lyon et Toulouse. Nous avons également relevé une augmentation de 93 % des recherches pour les biens situés sur les zones littorales, ainsi qu’une hausse de 61 % concernant le bassin méditerranéen. Désormais, les acquéreurs accordent une importance accrue à la qualité de leur lieu de résidence et à l’agrément offert par son environnement. Par ailleurs, dans la région Méditerranée, nous observons que les recherches concernant l’achat de maisons d’une superficie inférieure à 80 m2 ont progressé de 52 %. Par ailleurs, les acquéreurs privilégient les biens dotés d’un espace extérieur et qu’ils préfèrent, à budget équivalent, acquérir une maison située à proximité d’une agglomération, plutôt qu’un T4 dans le centre-ville. Néanmoins, ces tendances doivent être pondérées par l’offre insuffisante qui caractérise le marché à l’échelle nationale. Ceci étant, l’entrée en vigueur de la loi Climat & Résilience — qui impose de nouvelles restrictions aux logements énergivores — pourra avoir un impact significatif sur les marchés de la transaction et de la location. Nous suivrons de près ces évolutions.

D Benbassat rond David Benbassat directeur général de Bien’ici

 

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Les passoires thermiques, de bons investissements locatifs

On ne peut que constater la volonté de l’Etat d’éliminer les passoires thermiques par le biais d’une réglementation toujours plus restrictive. D’ici 2028 les logements les plus énergivores seront interdits à la location.

Les propriétaires sont donc tentés de revendre les appartements concernés. En effet, les principaux freins à la rénovation sont le coût et la complexité des travaux.

Cependant acheter un bien énergivore peut-être un bon investissement. Attention comme tout investissement, il faut aussi prendre en compte d’autres critères (quartier service à proximité etc). Une fois l’investissement réalisé, il reste encore la partie travaux

Heureusement, il existe plusieurs aides de l’Etat qui pourront faire baisser drastiquement vos frais. Notamment « Maprimerénov » qui est accessible à tous les propriétaires sans condition de revenus. Enfin, il faut voir sur le long terme, certes ces travaux peuvent sembler coûteux, mais ils permettront une valorisation du bien.

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Promenade des Anglais : le marché de la première ligne

Pour faire le point sur ce secteur fort prisé, nous donnons la parole à Grégory Dascenzio, gérant de l’agence 5 Promenade, Delphine   Chouchana, directrice de l’agence RE/MAX Azur Signature et Kirkor Ajderhanyan, dirigeant de l’enseigne 107 Promenade.

Fondée en 1965, l’enseigne 5 Promenade aujourd’hui gérée par Grégory Dascenzio est la première agence immobilière à s’être implantée sur la prestigieuse Promenade des Anglais !

« Spécialistes de la transaction, de la gestion et de la location, nous intervenons sur un périmètre centré sur la Promenade et le Carré d’Or, avec une prédilection pour les biens jouissant d’une vue mer. Actuellement, nous accueil- lons un nombre important d’investisseurs en quête de stu- dios et de 2 pièces. Nous avons également accompagné de nombreux parisiens désireux de disposer d’un pied-à-terre à Nice qui leur permette de travailler à distance et de profi- ter des conditions privilégiées de notre région. La vue mer et la proximité du centre-ville constituent pour eux autant de facteurs décisifs. Compte tenu des différents secteurs qui composent la Promenade, les prix y varient sensible- ment. Néanmoins, les récents travaux d’embellissement et l’arrivée du tramway ont incité les acquéreurs à étendre le  périmètre de leur recherche. On distingue trois secteurs : le premier secteur s’étend du quai des États-Unis jusqu’au Negresco ; le deuxième va jusqu’à Fabron, tandis que le troisième y débute et se poursuit en direction de l’aéroport. Plus on approche du centre-ville, plus les prix augmentent. Globalement, le ticket d’entrée se situe au voisinage de 250 000 € pour un studio de 30 m2. Les 2 pièces en étage élevé et jouissant d’une rénovation récente deviennent accessibles aux environs de 450 000 €. Néanmoins, la rareté est telle que les prix ont connu une hausse marquée en 2020 et 2021, soutenue par l’afflux des investisseurs en quête de biens dédiés à la location saisonnière. En outre, depuis le début de la crise sanitaire, la clientèle a sensiblement évolué : aujourd’hui, 80 % des acquéreurs sont français. »

Sous la direction de Delphine Chouchana, l’agence RE/ MAX Azur Signature se consacre à l’immobilier résidentiel et professionnel, ainsi qu’aux produits de luxe, par le biais de son département RE/MAX Collection.  

« Actuellement, nous développons le secteur du neuf et de la VEFA. Au sein de notre enseigne, chaque secteur de la ville est attribué à un spécialiste. Nous intervenons également dans le Var, grâce à notre agence implantée à Draguignan. Né à Denver au Colorado en 1973, RE/MAX est depuis plusieurs années le réseau qui réalise le plus de transactions immobilières dans le monde. Avec 137 000 agents dans 130 pays, RE/MAX est également le 1er réseau d’agences immobilières en Europe, avec une vente toutes les 4 minutes. En France, le réseau est en plein essor avec près de 100 agences dont 4 implantées dans la région, et plus de 1250 agents. Sur la Promenade, les acquéreurs privilégient les biens allant du studio au 3 pièces. Les étrangers et les Parisiens attendent souvent des prestations luxueuses. Par conséquent, les tarifs s’avèrent plutôt élevés, à l’image du bien que nous avons vendu récemment : un 3 pièces de 90 m2, à rénover, qui a trouvé preneur à 710 000 €. Au cœur de la crise sanitaire, le marché a fait preuve de résilience. Dès le mois de mai 2021, la demande a augmenté tandis que l’offre demeurait limitée, imposant aux prix une tendance haussière. Désormais, les étrangers sont de retour, ainsi que les clients nationaux en provenance d’autres régions et notamment de Paris. Ils privilégient les biens jouissant d’une belle vue et d’un espace extérieur. »

Partenaire de Keller Williams — premier réseau d’immobilier mondial qui regroupe plus de 190 000 membres — l’agence 107 Promenade est dirigée par Kirkor Ajderhanyan et son épouse Karine, qui travaillent avec leurs enfants Teni et Garen. 

« 2021 a été une année record ! L’incertitude économique générée par la crise sanitaire a renvoyé nos clients vers l’immobilier, valeur refuge quand il est bien placé. Tel est le cas du front de mer niçois qui bénéficie d’un cadre naturel exceptionnel, mais dont l’offre est forcément limitée. Nous avons réalisé la vente de plusieurs appartements de grand luxe prisés par la clientèle française et internationale à haut pouvoir d’achat. Les investisseurs sont à la recherche de tous types de produits disponibles : du studio jusqu’au petit 3 pièces, pour des budgets compris entre 250000 et 550/600000 €. Si, en 2011, les prix des studios démarraient à 150 000 €, aujourd’hui il ne s’en trouve pas à moins de 250 000 €. Pour les 2 pièces, le prix minimum est passé de 250/280 000 € à 350 000 €. Et celui des 3 pièces, de 350/380000 € à 450000 €. Il y a quelques années encore, le front de mer niçois se divisait en trois secteurs : le quai Rauba Capeu et le quai des États-Unis, puis La Promenade, du Méridien à Magnan. Au-delà, l’immobilier était beaucoup moins valorisé. La mise en service de la ligne de tramway Ligne 2 et le développement de l’ouest de la ville ont complètement changé la donne. Les biens situés sur le secteur Magnan — les Bosquets— Carras se sont tous très bien vendus. Ils bénéficient d’une orientation sud-est avec une vue mer – cap de Nice très agréable. Pour l’année 2022, la tendance devrait se poursuivre. »

 Delphine CHOUCHANA ROND   Gregory Dascenzio ROND     Kirkor Aiderhanyan RONDPhoto article blog

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Savi Esteve : 65 ans d’expertise !

Fondée en 1956 par les aïeux de Charlotte Lafeuillade, l’agence Savi Esteve compte parmi les plus anciennes à Nice. L’enseigne se consacre à la gestion, la location et la transaction sur l’ensemble de la ville. Interview.

Vous fêtez la 65e année d’activité de l’entreprise. Quel est l’ADN de Savi Esteve ?

Mon arrière-grand-père a fondé l’agence en 1956, puis l’a transmise à ma grand-mère. J’en ai ensuite repris les rênes, car j’ai développé une véritable passion pour le métier de l’immobilier. Nous sommes une structure familiale et indépendante;unevéritableagencedequartier,ensomme. Parmi les 9 collaborateurs que compte l’entreprise, 3 font partie de ma famille. Au cours des deux dernières années, nous avons doublé la capacité de notre portefeuille de gestion, mais nous demeurons une entreprise à taille humaine, résolument attachée à la qualité des rapports que nous entretenons avec chacun de nos clients.

Quel a été l’impact de la crise sanitaire sur le marché niçois ?

Les prix ont subi une légère augmentation, mais le marché, dans son ensemble, demeure stable. Cependant, le manque de biens à la vente se ressent de plus en plus. Les stocks s’épuisent, tandis que le nombre d’acquéreurs augmente. Bien que la clientèle étrangère ne constitue pas mon cœur de cible, j’observe qu’elle tarde à revenir. En revanche, les acquéreurs parisiens sont très présents et alimentent une demande déjà élevée, imputable aux acheteurs locaux.

Quelle est la typologie des biens les plus recherchés actuellement ?

Qu’ils soient professionnels ou amateurs, tous les investisseurs sont en quête d’un bien accessible à moins de 100 000 euros, au point de faire primer ce chiffre sur les caractéristiques du bien. C’est la perle rare, censée générer la meilleure rentabilité. À ce prix-là, les seuls produits disponibles sont des studios, qui se trouvent en particulier dans les quartiers nord et est de la ville. En revanche, s’ils sont situés dans les emplacements les plus exclusifs, tels que le Carré d’Or, ils requièrent d’importants travaux. Par ailleurs, les biens disposant d’une terrasse, d’un balcon ou d’un extérieur en rez-de-jardin suscitent toutes les convoitises.

Quels sont les quartiers les plus prisés, désormais ?

En matière d’emplacement, les valeurs sûres demeurent les mêmes. Au Carré d’Or s’ajoutent les secteurs de la Libération, des Musiciens, de Cimiez et de Fabron. Tous quartiers confondus, la rareté du bien détermine son prix. J’estime que la hausse des prix que nous connaissons aujourd’hui est de l’ordre de 3 %. Elle s’est consolidée durant les mois de février et mars 2021, mais ne concerne pas la seule ville de Nice. Le phénomène est national. On observe une forme d’attentisme de la part des propriétaires, car ils ignorent si, à l’issue de la vente de leur bien, ils trouveront un produit correspondant à leurs attentes ou un investissement plus rentable. Or cette tendance se vérifie également sur le marché de la location. Certains mois, parmi les 700 lots dont nous assurons la gestion, nous ne relevons que 2 vacations. Le turnover et les déménagements sont très rares, en ce moment.

Vous êtes adhérente au MLS Côte d’Azur. Quelle est la part de transactions que vous réalisez par le biais du mandat exclusif partagé ?

Environ 40 %. Si le marché se maintient dans l’état de tension actuel et avec un niveau de stock aussi bas, cette part est appelée à augmenter. Pour les acquéreurs comme pour les vendeurs, le mandat exclusif apporte un confort et une efficacité considérables : ils échangent avec un interlocuteur unique. Le vendeur confie son bien à une seule agence et bénéficie d’une vaste exposition auprès de plus de 500 agences adhérentes au MLS, tandis que l’acquéreur peut choisir parmi une large sélection de biens sans devoir s’adresser à plusieurs professionnels. En outre, le MLS apporte une visibilité qu’une agence seule ne peut pas offrir. Cela se traduit par des délais de vente bien plus courts. Pour que le partage de mandats exclusifs progresse encore — voire atteigne la totalité du marché, comme c’est le cas dans les pays scandinaves et les États-Unis — l’encadrement devra être renforcé, afin de garantir la compétence des nouveaux venus dans la profession.

C. Lafeuillade rond

Charlotte Lafeuillade directrice de l’agence Savi Esteve

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Facebook change de nom !

Facebook change de nom et devient Meta, enfin plutôt la maison mère de Facebook.

C’est Mark Zuckerberg en personne qui l’a annoncé lors de la Facebook Connect.

Alors concrètement est-ce que cela va changer notre réseau social préféré ? La réponse est non, pas pour le moment en tout cas.
Cela signifie juste que désormais les plateformes Facebook, Instagram et les messageries WhatsApp et Messenger appartiennent à Meta. Leurs noms resteront identiques ainsi que leurs interfaces.

Nous pouvons donc nous demander, pourquoi ce changement ?

Une hypothèse revient :  Facebook fait l’objet de plusieurs controverses depuis quelque temps. L’entreprise est notamment accusée de faire passer les profits avant l’humain, mais aussi de ne pas assez protéger les utilisateurs notamment les adolescents fasse aux contenus toxiques.
On peut donc supposer que Facebook espère changer son image et faire oublier les polémiques grâce à ce nouveau nom.

Cependant d’après le fondateur, ce changement n’est que le début d’un projet plus global.
En effet Mark Zuckerberg, souhaite à terme créer un nouvel environnement numérique auquel le public aura accès. Les utilisateurs pourront via de nouvelles technologies (lunettes de réalité augmentée, casques de réalité virtuelle, etc.) se connecter en 3D et interagir de manière bien plus poussée que ce qui est possible de faire aujourd’hui.

Coup d’éclat marketing ou réel changement ? Seul l’avenir nous le dira…

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