L’année 2019 avait été une année record en terme de transactions. On aurait pu penser que la crise sanitaire aurait stoppé cette envolé, il n’en a rien été.
Le télétravail a considérablement modifié nos modes de vie, les salariés qui ont pu en bénéficier n’hésitant plus à s’éloigner des grandes métropoles pour se tourner vers des villes de tailles moyennes, leur permettant ainsi d’accéder à des biens plus grands, dotés d’extérieurs. Ces villes rivalisent d’inventivité par le biais de campagnes promotionnelles vantant leur région afin d’attirer de nouveaux habitants, dynamisant ainsi le nombre de transactions.
Néanmoins dans les grandes villes, les biens dotés d’extérieurs demeurent très recherchés.
Le nombre de transactions n’a donc cessé d’augmenter laissant augurer un nouveau record pour l’année 2021 plus 1,1 millions de transactions enregistrées à fin mai sur une année glissante.
Malgré le climat d’incertitude actuelle, et la peur d’un durcissement de l’accès au crédit, les acquéreurs profitent de taux d’intérêts très attractifs (entre 1,02 et 1,10% sur 20 ans), et empruntent sur une durée moyenne de 18 ans, contribuant ainsi à la relance économique.
L’immobilier reste et demeure une valeur refuge.